— honorin est le fils ainé de la famille lancaster, dont le père était déjà le chef de l'armée précédemment. honorin a succédé à son géniteur il y a huit ans.
— il est balafré depuis quinze ans et chérit cette blessure comme une preuve d'un chemin parcouru, entre sa jeunesse et maintenant. il n'a jamais cherché à la cacher.
— il a reçu une éducation guerrière et a toujours montré un fort engouement pour ce milieu, et ça dès le plus jeune âge.  
— ce n'est un secret pour personne, que ce soit cour de belorge ou fréquentation de sa famille qu'honorin a toujours été terrible ; c'était un enfant qui voulait commander, et qui martyrisait les plus faibles pour "leur donner des leçons".
— son petit frère, meliodas, est un de ses soldats et confirme bien sa nature détachée de la cruauté : il n'hésite pas à le punir durement pour chaque écart, invoquant la violence si nécessaire, dessinant un portrait de lui d'un homme prêt à détruire les liens du sang pour s'assurer d'être respecté parfaitement.
— il joue un peu de son image terrible, et se réjouit de la tranquillité que cela lui laisse d'une certaine manière. il déteste être importuné et les interactions inutiles si elles ne sont pas nécessaires aux règles de bienséances.
— l'idée de mettre vie ne lui plaît pas mais celle de ne pas assurer de descendance non plus. il sait qu'il devra se marier et est, malgré les apparences, plutôt enclin à l'idée. il dit toutefois à qui veut l'entendre qu'un mariage avec lui serait "terrible".
— il aime être sur le terrain et parcourt souvent belorge pour montrer son existence auprès du peuple. il cherche aussi à entretenir des liens privilégiés avec les autres têtes du milieu guerrier, hors royaume.
— malgré l'attrait pour la violence, honorin est très fier de la paisibilité du royaume et est persuadée qu'elle serait impossible sans une bonne armée, silencieuse mais menaçante.

très secret, sa nature cruelle est un secret de polichinelle, confiant et droit, impitoyable, la crainte qu'il inspire n'est pas forcément vue comme une mauvaise chose, car c'est bien ce qu'on lui demande d'être, répond à ses désirs et à ses envies sur des coups de tête, se fiche d'incarner les travers impitoyables du monde militaire, sa main est ferme, poli comme il le faut, mais se lasse vite de toutes les manières et de la courtoisie, prend un plaisir malsain à punir, déteste les choses désorganisées, admire les figures politiques plus exposées, mais peine à s'y mêler parfaitement car n'a pas l'impression d'être du même monde, jouit de la crainte qu'il inspire, ne hait presque jamais, méprise davantage, a fait de son métier le but d'une existence, insolent avec les plus faibles, croit fermement en "la chaîne alimentaire" chez l'humain, et se place en superprédateur sans aucune honte, aime les bonnes choses, cynique, se moque des gens superficiels, beaucoup de sang-froid, ses colères sont glaciales et retentissantes, déteste qu'on lui manque de respect