Bonjour je suis là pour ma particularité de DEMON.

C'est illégal de me faire avoir de la compassion alors que je veux le cogner si fort
Mais continue pcq je l'aime en fait........
Le test rp est validé du coup hihi

Hellooo ~

Premier rp test de ma vie je suis en stresse jpp  
Ce rp est pour la particularité : Démon
J'espère que ca ira !
Pour la compréhension : sachez que la soeur du personnage est Elisabeth celle qui a réserver le scénario "le non-magicien"
Aussi, son humain pactisé est Egypte

Merci d'avance pour le temps consacré à la lecture de ce test rp !

Wah je m'attendais si pas à avoir ce défaut pour un démon que je suis
J'aime beaucoup l'idée et j'ai hâte de voir ça en rp !
Le test rp est validé

Salutations, je suis ici pour ma particularité de TRAQUEUR (je stresse un peu j'dois dire)

Hello ! Voilà donc le troisième membre de ce trio hihi.
C'est validé pour nous, amuse toi bien en rp

Pioupiou ! Je suis ici pour ma particularité de Démon ! \o

Reborn in the Abyss

Test RP

Le monde est grand, tu trouves pas ?
L’immensité au creux de tes mains.

Pourtant, il ne suffit que d’un pas pour que tout disparaisse.
Il n’a suffi que d’un pas.

L’immensité monstrueuse, colossale, qui dévore tout ce qui l’approche. Qui ne laisse aucune chance. Indocile, infernale. Elle était là. Au creux de ses mains, à portée de ses pieds. Il a fallu qu’elle fasse le pas de trop.

La curiosité grandissante, croissante, celle qui l’a forcée à s’approcher, toujours un peu plus près. Un pas de plus vers le néant.
Un pas de trop.
Jusqu’à tomber, engloutie.

Dix-sept ans, déjà disparue. Une mort tragique, peut-être même ridicule. Tout cela aurait pu se passer normalement. Reculer un peu, reculer beaucoup. S’assurer de ne pas s’emmêler les pieds dans sa maladresse. Marcher droit.
Mais non. Elle avait besoin de savoir. Besoin de s’assurer que la Terre n’est pas plate. Qu’il y a un « après » le gouffre. Une existence au-delà des rumeurs.
Le gouffre n’est qu’une barrière infranchissable, terrifiante pour tous les autres, excitante pour sa curiosité.

Celle-là même qui lui a brûlé les doigts. Les mains. Les lèvres.
Tout.

Et il n’y avait plus rien.

Jusqu’à reprendre conscience, un jour, deux ans plus tard. Plus ou moins. Une information manquante pour son esprit encore embrumé, pourtant vérifiée par les calendriers. Année 1020, deux ans après son accident.
Au début, c’est une lumière, au loin. Un scintillement fugace, faible, qui perce à peine à travers ses propres ténèbres. C’est presque rien, pourtant, c’est là, c’est cette seconde chance. C’est le retour de l’infini au creux de ses mains. Un second souffle, celui qui lui permettra d’abreuver cette soif intarissable.
La soif de connaissances. L’envie de savoir. De tout avoir dans sa mémoire.

Mémoire souillée. Vidée. Torturée par une peine immense, une envie de mourir. Ou de vivre. Plus fort. Pour avoir moins mal. Pour oublier ce qu’elle a déjà oublié. Pour combler le manque avec quelque chose de mieux.

Et il y a ce visage face au sien, qu’elle ne reconnaît pas, mais qui semble savoir qui elle est.

« Erin ? »

Un nom. Quelques lettres apposées les unes à côté des autres, qui ne veulent rien dire.
Mais dans cet air incrédule, sur ce visage plein d’incompréhension, Opaline ne voit qu’un nouvel espoir. Opaline ne voit qu’une victime, jetée dans ses bras pour l’aider à se reconstruire.
À renaître.
Pour pouvoir tout redécouvrir.

Magnifique test rp ma puce
j'aime tellement Opaline damn, le test est validé ! GOGOGO FAIRE TA FICHE

salut tu veux que je te traque en DM

Un bref sursaut extirpa mon esprit de ses songes aveugles, ravivant la vue d'un paysage baigné dans les rayons lunaires. De ces nuits sans rêve à la rare quiétude, le sommeil n'était pas si réparateur, incapable de taire mes instincts chasseurs. Mon cœur, d'abord emballé par cette abrupte sollicitation, capta la brève exaltation qui précédait l'instant unique : lorsque le traqueur, avide de mener à bien sa mission, voyait son cœur lié à sa proie.
De ce Vide infini à l'horreur insatiable, ce Gouffre frontière qui nous maintenait ici,
Quelque chose remontait
Quelque chose d'abject, cette difforme entité qui corrompait les êtres.
Quelque chose d'abject, dont la seule existence ternissait les terres.
Une respiration, un silence prolongé.
Une méditation ; de patience et de confiance, car la traque commençait simplement.
La nuit poursuivait son cours, inlassable fatalité—ignorante des horreurs à venir.
Je te sens, soufflais-je doucement, comme pour moi-même.
Je te sens exister, de cette musique tranchante et aiguë qui perce mon esprit.
Je te sens, de ce chant qui languit dans les ombres, impatient de l'issue.
La flûte ébène, tournoyant gracieusement entre mes longs doigts, vint caresser mes lèvres entrouvertes : comme un rituel à l'aube de toute chasse, la marche funèbre teintait la nuit de ses notes.

Comme bien souvent, le Traqueur Éternel annonçait sa venue.
Quel nom exagéré, pour qui frôlait la trentaine.
La terreur, pour autant, n'avait rien d'hyperbolique—et gagnerait les esprits, comme un prémisse au massacre de deux êtres : pour ces humains instrumentalisés comme les démons qui les nouait au Mal, je n'éprouverai nulle pitié.
Je commencerai par insuffler la terreur en cet esprit suffisant, démontrant ma force comme gage d'une victoire à venir ; et aux moyens de ce désespoir imposé, nullifierait leur moindre volonté.

Il n'y avait de plus trompeurs que les mots, pas davantage de meilleure arme : de leurs faits, je les conduirais aux portes d'un monde estimé plus serein que celui où je vivais.
Dans l'espoir, mentirais-je, de leur rédemption.
En retenant leur souffle, ils se transperceraient le poumon, préférant le suicide à leur agonie.
En un instant si court que le plaisir ne saurait en germer.
Alors, la nuit poursuivrait son court, inlassable fatalité.
Et dans ce Gouffre, un jour, régnera la terreur que j'aurai doucereusement insufflé.
Gardant le monde loin de ces êtres, faisant de moi l'unique monstre demeurant.
Alors, alors enfin,
La traque se terminerait.

Je suis soufflée de ouf c'était trop beau à lire
C'est validé évidemment !!!!

Hop, je suis là pour la particularité Multi-éléments d'Aiden.

J'espère que ça ira.

Bébé Aiden a l'air si adorbs
C'est validé ofc (et très bien écrit hihi)

B-bonsoir je viens tenter ma chance pour devenir compagnon, j'espère que ça ira !



merci de m'avoir lue !

Enfin un compagnon je suis si émue
Trop contente
Le test rp est validé hihi

Hello, je tente ma chance pour la particularité Multi-éléments :) Je précise que les éléments décrits sont de l'ordre du fantasme et de la rêverie, ils ne correspondent pas à un niveau de maîtrise de débutant. :3 J'ai bien compris qu'un jeune magicien n'était pas capable de fusionner ses éléments.


À mesure qu’il progressait dans ce dédale de pierre froide, guidé par le Mage qui l’avait amené en un clin d’oeil si loin de chez lui, Alexei se demandait un peu plus à chaque pas à quoi pouvait bien ressembler la Source. S’il était si préoccupé par des détails esthétiques, il ne présentait néanmoins pas le moindre doute sur le bien-fondé de sa présence ici. Certains qualifieraient son engagement de précipité, mais il ne voyait pas les choses sous cet angle : il devait savoir. Bien plus fasciné que mal à l’aise à l’idée de devenir magicien, il était déjà convaincu que c’était l’unique solution viable à son problème. La magie était la seule lumière qui puisse éclairer le chemin de la vérité, cette route sinueuse sur laquelle il errait sans canne depuis trop longtemps.

« Chacun vit ça différemment, tu sais. Mais il ne faut pas t’en faire, tout va bien se passer. »

Son précepteur se voulait rassurant, mais Alexei n’avait pas besoin qu’on le caresse dans le sens du poil. Il n’avait pas peur. Il était… excité. Il ne répondit pas, il n’en eut pas le temps : derrière d’immenses portes à double battant s’étendait un bassin d’obscurité duquel se dégageait quelques gerbes d’énergie qui lui rappelèrent vaguement quelque chose. Alexei eut à peine le temps de distinguer à quel point la salle devenait sombre malgré la multitude de torches présentes : son esprit voguait ailleurs.

De l’eau. De l’eau à perte de vue. Une étendue sans limite qui s’étendait à l’horizon. Un amas si vaste comme Alexei n’en avait jamais vu. Aussi loin que remontaient ses souvenirs scolaires, il ne lui semblait pas qu’un lac aussi vaste existe ici-bas. Soudain, un vent terrible se mit à souffler sur cet océan gigantesque. Il ne vit dans le tumulte des vagues que chaos et mystère. Un grand bain de doute et d’inconnu. Pourtant, il se sentait comme physiquement attiré par cet ensemble entropique. Lorsque ses orteils eurent raison du rivage, il sentit son corps se geler à mesure qu’ils s’enfonçaient dans cette eau glacée. Puis une vive lumière jaillit juste devant lui et l’aveugla.

Trois-Rivières. Il aurait reconnu ce nouveau décor entre mille. Il assistait à une scène de vie des plus classiques sur les quais de la capitale d’Ambrive. Une fin de journée des plus banales qui lui donnait l’impression de n’être jamais parti. Mais l’harmonie fut aussitôt rompue : Alexei aperçut un gamin chaparder un objet de grande valeur laissé sur un étal. Celui-ci entreprit ensuite de sauter de pirogue en pirogue à l’aide d’un grand bâton en bois.

L’adulte qu’il se sentait devenir fut animé d’un besoin de rétablir la justice ; il tendit alors les mains vers le voleur, comme s’il savait très bien ce qu’il faisait. L’eau de la rivière prit soudainement corps pour se transformer en glace et saisir le garnement. Alexei s’approcha de l’enfant immobilisé par ses soins alors qu’un vent se levait sur les quais et que l’eau environnante s’agitait de plus en plus. Arrivé à sa portée, il ôta la cagoule qui rendait le voleur anonyme. Il découvrit alors son propre visage déconfit. Cette image se cristallisa.

Alexei émergea en nage dans des draps qui n’étaient pas les siens.

« Il était temps… soupira l’infirmière. Vous avez dormi près de deux semaines.

Hello !
La rédaction est super propre c'était très fluide à lire
Le test rp est validé

Bonjour bonsoir à tous ! Je viens faire un test pour la particularité Barghest ! En espérant que tout convienne, gros bisous.

Cela fait des heures maintenant, ma chérie, que tu vomis sans relâche. Tu trembles, tu pleures, et les fluides se mêlent avant de s’écraser au fond de la baignoire dans un bruit grotesque.

C’est dégoûtant.

Tu fais de ton mieux pour garder le silence, mais tu as beau presser tes mains contre tes lèvres, tu ne parviens pas à garder la peur en toi. Elle finit par s’échapper sous forme liquide, quand tu ne gémis pas de terreur. Et tu as l’espoir que, quand tu te seras enfin vidée de tes forces littéralement comme figurativement, il ne restera rien d’assez puissant en toi pour mouvoir ton corps et l’amener à saccager je-ne-sais-quoi. Oh, tu te trompes, mon amour ; ton petit manège n’a jamais empêché quoi que ce soit d’arriver. Tu te rends malade pour rien car la transformation est inévitable. Toi qui grimaçais déjà à l’arrivée de tes menstruations un peu plus tôt dans le mois, tu te doutes bien que c’est une partie de plaisir comparé à ce qui t’attend ce soir.

Et tu ne seras même pas là pour le voir.

Mais moi je le verrai, rassure-toi. Je verrai ton corps hideux se transformer. Je verrai la créature hirsute que tu es. Je te verrai, te débattre et arracher tes liens (comme tu le fais à chaque fois) ; et tu sortiras avec fracas de la grange où l’on t’a confinée, grande bête noire, férocité aux dents et animosité aux yeux. Une créature de haine et d’agressivité. Peut-être que tu arracheras la porte de ses gonds, ou peut-être que tu choisiras la solution de facilité en détruisant le mur en bois. Il n’est plus si solide depuis que tu y as fait tes griffes la dernière fois.

Peut-être que tu ravageras les champs et réduiras à néant les récoltes. Peut-être que tu auras faim.

Je sais que tu auras faim, ma chérie. Tu n’y peux rien. Peut-être alors que tes crocs s'abattront sur la nuque du chien de tes bienfaiteurs. Tu l’aimes tellement, lui qui est si gentil avec toi, qui mange les restes du repas dans ta main. Gentil Reinhold. Tu t’en voudrais tant. Le pire serait de savoir que son corps, son coeur, repose au fond de ton estomac.

Tu vomis encore. Et si ton ventre vide était ce qui affame la bête ? Tu n’y avais pas pensé mais soudain tu t’en veux. Tout est sans doute de ta faute. Mais il ne te reste qu’une petite heure avant que la lune ne se lève. Et même si cela suffisait, tu ne pourrais rien avaler après cette purge. Tu rinces la baignoire et nettoies sommairement la salle de bains ; tu y repasseras au petit matin, quand tu seras de nouveau “toi”. Nul besoin donc de la récurer de fond en comble.
Tu te rends à la grange (ta grange). Tu te dénudes et poses tes affaires dans un coin. Au moins tu gardes ton intimité ici ; tu sais que tout le monde a trouvé refuge plus loin, beaucoup plus loin. Ils seront de retour le lendemain pour constater les dégâts tandis que tu t’excuseras encore et encore pour une erreur qui n’est pas vraiment la tienne. Tu t’attaches comme on te l’a montré par le passé ; les cordes sont déjà en place de sorte qu’il ne te reste plus qu’à les passer autour de toi et à faire un pas pour qu’elles se serrent d’elles-mêmes.

Tu grelottes. Ce mois d’octobre n’est pas tendre avec toi. Tu serres les dents, tentes de lutter. En vain.

Tu perds connaissance.

Alors
euh
je suis un peu soufflée je t'avoue ??
magnifique test rp, tu es bien sûr validée ! j'ai adoré le style de rédaction vraiment

hello!!! je viens faire le test pour la particularité d'oracle en espérant que tout soit bon  

Au départ, ce n’étaient que des fragments anodins.

La nuit tissait sous ses paupières des songes étranges. Elle entrevoyait avec clarté des événements futiles, simples secondes noyées dans l’infinie d’une journée. Et parfois, le rêve prenait forme et s'ancrait au coeur de la réalité, se débobinant sous ses prunelles tel un mirage redondant. Madame Bellerose lui affichait le même sourire affable, son père lui assenait des reproches avec une tonalité familière, et la soierie de sa robe était d’une nuance céruléenne, semblable au textile de ses chimères. Mais son esprit d’enfant n’accordait aucune importance à ces détails prémonitoires. Sa mémoire les gommait quelques instants plus tard, et sa curiosité butinait d’autres sujets plus fascinants. Il ne s’agissait que de coïncidences amusantes, ponctuant sporadiquement les chapitres de sa vie.

Un enfant Bellerose, vous en avez de la chance ! Moi aussi, je voudrais être maman.

Sybille félicitait chaleureusement sa gouvernante, l'oeil luisant d'une malice enfantine, lorsque celle ci lui décocha un regard perplexe. Il n’en était rien, mais l’annonce de cet heureux événement résonnait fraichement au creux de ses tympans, tel un tintement du passé. Sybille se rappelait distinctement de la clarté euphorique illuminant son faciès, et du velours imprégnant sa voix. Il lui semblait rêver debout.

Neuf mois plus tard, Madame Bellerose mit au monde un poupon rougeoyant. Sous sa boite crânienne, les rouages de l’incertitude s’enclenchèrent doucement.  

Les rêves s'étaient échappés de sa tête. Des visions prophétiques entrecoupaient ses journées, rares mais terriblement intenses. Elle ne parvenait plus à ignorer le pressentiment qui lui tordait les entrailles, l’innocence de l’enfance éventrée par les années. Il était difficile d’ignorer les faits lorsqu’on avait soustrait à son regard le voile de l’ignorance.

Une évidence incompréhensible s’imposait à son esprit, sans qu’il ne parvienne à l’élucider. Le futur semblait logé au creux de ses pensées.

L’intuition devint certitude lors d’une matinée semblable à tout autre. Prise de convulsions, Sybille s’effondra sur le marbre froid de la demeure Valcourt. Un spectacle affligeant se déroula dans le silence de sa conscience, images implosant sur les prunelles telle une nuée de bombes. Elle entendit le vent maugréer une symphonie mortelle et vit la foudre peindre la pénombre de son éclat menaçant, tempête ravageant les champs de récoltes. Elle ressentit un chagrin intarissable empoigner sa gorge d’un étau ferme, écoutant les lamentations des paysans qui avaient tout perdu. La bile longea sa trachée dans une caresse acide. Fiévreuse, elle conta sa vision à son père, lui implorant d’agir.

Il ignora sa requête, mais vint la trouver quelques jours après, un sourire caustique.

Tu avais raison.

Bénies par les tests rp qualitatifs ce soir
(et tous en fait mdr mais je suis grave contente il fallait que je l'exprime)
Vraiment superbe rédaction le test est validé !
N'oublie pas de préciser dans ta fiche si tu es l'oracle de Belorge ou Malronce

Bonjour je suis içi pour vendre mon âme
+ un résumé des familles: il a été jeté dans une faille par son frère et sa soeur après qu'il ai commencé à fréquenter une mage. Sa famille était une famille de guerrier ne voyant pas la magie d'un bon oeil, ils l'ont fait disparaître lorsqu'ils l'ont appris.

TEST RP

On n'aurait jamais su, car on n'aurait jamais cru, que les mains nous ayant longtemps étreint seraient les premières à nous jeter dans le ravin. Destin jamais imaginé ; tragédie à main levée ; tu ne te rappelles pas de leurs visage à ce moment-là, mais tu sais que tu donnerais tout pour pouvoir retourner là.
A cet instant où tout s'arrêta, où le temps s'éclipsa pour que le vide ; le néant ; l'oblivion ; ne deviennent que ce qu'il y avait.

Alors que l'on voulait toujours plus, que l'on voulait être celui qui volait pour soi, on avait toujours jeté des pierres sur tes ailes. Et jamais, oh jamais, tu n'avais été content. Content de ce que tu avais. Content de ce que tu étais. Content de ce qu'ils étaient ; de leur façon d'être, de leurs traditions, de ce qu'ils voulaient.

Ce que tu désirais n'était point sur la même note.
Mélodie contraire.
Tout n'avait jamais été assez ; tout avait toujours été désaccordé.

Jusqu'à ce moment, cet instant où l'on respira de nouveau, la tête sortie de l'eau. Ayant saisi ce qui nous avait été offert à portée de main, on avait tout pris, on avait tout arraché : on prit la vie qui n'était pas la tienne car rien n'était jamais assez.

Insatisfaction, énervement, désir de toujours plus, de l'excès d'absolument tout ; et le visage te faisant face à ce moment te convaincut que tu auras tout. Car il ne se passera pas un temps où tu arriveras à te satisfaire, pas un temps qu'ils n'auront pas payé.

Ceux l'ayant trahi ; eux qui n'étaient plus, eux qui n'existaient plus, cette famille d'imbéciles, cette famille de traîtres, cette famille ; les Lenoir.


Lenoir
Lenoir
Lenoir

Et alors que tu avais disparu, il ne resterait qu'un mot, qu'un toi.

Noir

Suite à la conversation en privé hihi
Le test rp est validé

Bonjour, je viens acheter un dragon cracheur de givre s'il vous plait. J'ai trois pesos et une chaussette troué sa ira ?

Noir sur noir, blanc sur blanc

"La chasse... Ton bon guerrier doit être un bon chasseur, c'est ce que me disait mon père en tout cas et je le croyais. Pour moi qui crois en la force, le corps est celui en lequel j'ai le plus confiance. Je m'entraîne dur afin de devenir épéiste du village, puis du pays et enfin de Valdore !

Donc la chasse, traquer une proie requiert beaucoup de compétence et c'est ce que j'aime la dedans ! Père me motive d'une façon simple et efficace. Je ne mange que ce que j'attrape. Autant dire que je suis plutôt poussé à aller chasser et ce de plus en plus. Ce n'est pas facile, limite plus compliqué qu'un duel à l'épée, il faut traquer, patienter et être discret. Grâce à ça, j'ai appris à me calmer, à devenir un vrai prédateur ! Silencieux et mortel !

Cependant aujourd'hui à été un grand jour pour moi. J'ai rencontré Grim, une panthère des neiges qui est devenu mon compagnon !

J'étais donc à la chasse, traquant un loup égarer ou très certainement exilé. Je le suivais depuis une petite heure, lorsqu’en fin sa piste se stop à une grotte. Un grognement presque disloqué se fit soudain entendre de la caverne, celle-ci me fit hérisser le poile. Préparant ma lance, je bondis à l'entrée de la grotte et fila à l'intérieur avec mon courage et ma force.

Mais ce qui m'y attendais ne fut pas un loup seul, mais trois au service d'une panthère assise sur un rocher, les prédominant. Je n'avais encore jamais vue ça, soudain les loups se retournèrent et grognèrent, avant d'accourir vers moi. Empoignant l'arme, je me préparais à les affrontés.

"STOP" enfin, ce fut un grondement, la panthère des neiges venait de grogner et les loups se stoppèrent immédiatement, la queue entre les jambes, oreilles aplatis. Toutefois, sa voix m'était clairement parvenus où plutôt, je l'avais perçus comme telle. Nos regards se croisèrent et nos destins furent lié."

- - - - - -

Je refermais lentement la page en soupirant de nostalgie. Malicia me regarda avec de grand yeux, assise sur Grim, comme si c'était un poney. Celui-ci faisait semblant de dormir et je percevais son agacement lorsqu'elle venait non pas à caresser son doux poils, mais lui tirer dessus.

- C'est comme ça que tu as eu ton familier ? Ses yeux brillaient tel deux étoiles filant dans le ciel.

Grim grogna ce qui la fit sursauter et descendre de son dos, il en profita pour venir se frotter à moi et poser son derrière pour la fixer, lui montrant qu'il était plus qu'un simple animale.

- Ce n'est pas un familier, c'est mon compagnon. J'ai vécu d'incroyable histoire avec lui, que je pourrais te conter une autre fois, mais là il est l'heure de dormir Malicia.

La petite me fit une superbe moue, avant que Grim ne se pourlèche les lèvres, tel l'air de dire "c'est l'heure de mon repas alors ?" Elle fila aussitôt au lit sans demander son reste, me faisant rire et grattouiller mon compagnon, ronronnant à cette preuve d'affection et de connivence.

Toutefois Malicia n'avait pas dis son dernier mot et tira la langue à Grim, avant de lâchement abandonner le combat et se cacher derrière la couverture. Celui-ci fit taper sa queue au sol, mécontent qu'on se moque de lui. je plaisanta en lui envoyant une image mentale de lui assit sur le dos de Malicia rempant comme moyen de locomotion. Il me répondit par un grognement "amuser" toutefois cela fit sursauter la gamine qui restait cacher.

- Oups.

Ne voulant pas plus l'effrayer, je demanda cette fois-ci à ma panthère de m'attendre sur le pas de la porte, ce qu'il fit dans un silence, du prédateur à l'affut de sa proie. Malicia releva à cet instant la couverture et ne le vit plus, elle paniqua et n'osa pas jeter un coup d'oeil sous son lit.

- Malicia, tout va bien, il est dehors. Je vins auprès d'elle pour la réconforter et la border un peu.

- Tu crois que c'est de la magie ? Me soufflât-el toute timide, sachant comment son père voyait mon lien unique avec cet animal.

La magie... de nombreuse fois je m'étais poser la question. Grim était le seul animal auquel j'arrivais à parler par la pensée et pas un jour ne regrette notre lien profond. Toutefois, la magie était mal vue, dire que c'était une particularité pour moi était... Simplement trouver un autre nom pour.

- Je ne sais pas petite soeur, en tout cas, pour moi, c'est ma magie. Allez, dors, demain je t'emmène aller acheter un nouveau manteau, les températures vont bientôt chuter.

Ma petite soeur m'étreignis avant que je ne la couche, éteigne la bougie et sorte en lui souhaitant une bonne nuit.
Grim me fixa alors que je fermas la porte et m'envoya une image de lui avec des bébés panthères et une femelle, en effet... Il cherchait à fonder sa famille. Puis ce fut à mon tour, une image de moi, d'Esmreil la voisine, portant un bambin.

- Ahah Grim, on verra sa demain tu veux. Rigolais-je à notre complicité, avant de me diriger dans la chambre voisine.

C'était nos jours heureux... Avant la chute.

Bien le bonsoir ! Je viens quémander ma petite piqûre de lycanthropie mon ascension à la masterace Barghest

---

En cette matinée estivale, des rayons doucereux se plaisaient à caresser le visage blême et apathique de l'être jonché à même le sol. Désireux de retrouver une posture respectable, sa gorge manifesta son mécontentement en ne produisant qu'une poignée de plaintes rauques et indiscernables. Ses bras et pieds, engourdis par la nuit passée semblaient eux aussi décidés de conserver leur état d'inertie.

Rendant les armes, son regard se perdait au gré des nuages dans un vain effort d'effacer les images cauchemardesques du rêve dont il avait été sujet. Une illusion d'apparence si réelle que les hurlements stridents des presque cadavres lui bourdonnaient les tympans, les éclaboussures rougeâtres coulant des murs de pierre chatouillaient ses narines d'une odeur ensanglantée. Mais plus que les sons et senteurs, ce qui brouillait outrageusement les barrières du rêve et de l'éveil se trouvait prisonnier de son palais. C'était une saveur dont il ne reconnaissait guère la provenance ou encore la nature... une saveur qu'il savait à jamais ancrée au plus profond de son être.

HELLO !!
Lloid malheureusement je vais devoir te refuser la particularité ;
Le rp est très encombré par des fautes d'orthographe mais aussi de français/de formulation assez importantes.. et on préfère que les particularités (qui ont des places limitées) soient jouées par des personnes plus à l'aise à ce niveau-là. Qui plus est ;

Citation :

Mais ce qui m'y attendais ne fut pas un loup seul, mais trois au service d'une panthère assise sur un rocher, les prédominant.

Peut-être que je ne m'y connais pas suffisamment en règne animal mais j'ai du mal à concevoir dans quel monde cette situation est possible ? Le côté surréaliste et orchestré pour le bien du scénario me semble tiré par les cheveux

Lezaleth en si peu de mots claquer un truc aussi efficace, j'adore je dis oui
Le test rp est validé !

Bonsoir ! Je pop enfin pour tester la particularité de démon en espérant que mon niveau sera assez bon :'( j'ailapressionetletrac  En espérant que ça vous plaira, merci beaucoup d'avance !
(pour l'info en + Narcisse est érotomane, au cas où je préfère le préciser.).

Elle ne comprend pas.
Toi non plus.

Le mécanisme de l'horloge retentit dans la pièce où vous vous trouvez et seule une bride lumineuse vient éclairer son visage laiteux sali par les larmes.
Tout ça à cause d’eux. Parce qu’aucun ne daigne accepter votre idylle.

Délicatement tu t’approches, cherches ses lippes sucrées comme pour la réconforter.
Mais elle te repousse.
Prend peur.
Et hurle encore une idiotie que tu ne tolères pas.

Tout ça à cause d’eux. Une gifle t’échappe, marquant son faciès délicat. Tu t’excuses.
Mais tu n’as pas le choix.

Parce que si tu ne sévis pas elle recommencera. Elle ira dehors, et de ses mimiques tendancieuses, ira charmer bien des concurrents. Elle se servira de sa beauté pour te rendre fou et entretenir cette folie que tu ne contrôles pas.

Pourquoi cherche-t-elle tant à te faire vriller ?
Est-elle satisfaite quand tu laisses enfin cette jalousie exploser ?

Telle une cacophonie désaccordée les voix résonnent, te font comprendre que tu ne peux pas prendre le risque. Elle te trompera. Se moquera de l’amour que tu peux bien lui porter. Elle fuira.

Et inévitablement.
T’abandonnera.

Tout ça à cause d’eux. Alors qu’aucun ne t’arrive à la cheville.

Tu refuses de la perdre.
Pas après toutes ses années à la faire tienne.
Plutôt mourir.
Elle comme toi.

Ton cœur battant à la chamade au grès de ses pleurs telle une bacchanale frénétique, tu attends qu’elle se calme. Les poings serrés à t’en faire saigner tu sens tes dents claquer, ta lèvre bouffée pour calmer cette peur te broyant te l’intérieur.

Que pouvais-tu bien faire pour lui faire comprendre l’amour que tu lui portais ?
Doute.

De quoi a-t-elle besoin pour ne plus aller voir ailleurs ?
Tristesse.

Qu’ont-ils tous de plus que toi ?
Frustration.

Peut-être n’est-elle qu’une vulgaire usurpatrice se servant de ses charmes.
Dégoût.

Tu en viens à détester ce corps de muse tant elle te donne la gerbe. Elle est à vomir de ses geignements apeurés implorant ta miséricorde.

Ton corps se tend.
L’anxiété te ronge.
La psychose te bouffe.
Jusqu’à te noyer dans cette paranoïa délirante.

Tu dois fuir.
Loin d’ici.
Avec elle.

Sinon on viendra te la dérober.

L’attrapant sauvagement par le bras tu la tires, te fiche bien de son refus. Elle est trop fine pour te résister, trop délicate pour te briser. Elle te supplie, tente de se défaire de ta prise mais tu te contentes de disloquer son poignet sous la rage.

Pourquoi refuse-t-elle d’accepter votre amour ?
A-t-elle déjà trouvé mieux ?

Cette idée refait surface, t’étouffe. Et si elle-même cherchait à te fuir ? Et si depuis le début elle ne t’aimait pas ?

Impossible.
Ces regards échangés.
Ces bouquets envoyés.
Vous étiez le couple parfait.

Suffoquant d’une angoisse dont tu ne peux te défaire tu perds la tête, laissant cette folie qu’est l’amour prendre le dessus. Tu ne te contrôles plus, ta muse tant convoitée devenant le centre même de ton attention. Encore plus qu’avant.

Qu’importent les brides que tu pourrais lui imposer.
L’idée qu’elle ne s’éloigne est trop grande.

Au bord d’un gouffre sans fin tu as enfin pris ta décision. Elle hurle. Tente de fuir encore. Mais tu la tiens fermement, tes ongles labourant cette pulpe délicate que tu viens embrasser, la couvrant d’une ultime attention avant de la jeter dans cette éternité malsaine.

Si elle ne voulait pas t’appartenir elle n’avait qu’à mourir.
Mais ses doigts s’accrochent à ta chair. Tu croises une dernière fois son regard terrifié.

Avant de chuter avec elle.
Sans même connaître son nom.

????????

"je suis sous pression" pardon quoi
c'est si bien ???????
Genre PARFAIT incroyable j'aime trop ????
Pfiou je mets le screen de Asteria pcq c'est trop accurate

Le test est validé OFCCC

Bonsoir ! J'espère que je ne fais pas de bêtises en venant passer le test de particularité : compagnon

When we're together we're stronger So let's just keep going 'Cause we're gonna keep on winning Sharing dreams, you and me All the hopes that we've been waiting

Cours. Ne t'arrête pas. Va toujours de l'avant. Tes pieds s'enfoncent dans la neige. Tes muscles hurlent de douleur. Chaque souffle te brûle la gorge. Tu ne vois plus rien, ou presque. Le temps devient une notion incomplète. Cinq. Non, dix. Peut-être quinze. Les minutes sont incalculables. Tes bottes usées par le temps laissent pénétrer la neige devenue eau. Tes vêtements tout aussi vieux couvrent à peine ta peau contre les morsures du froid. Ton nez rougit sous les rires des flocons blanchissant ta chevelure dorée. Cours. Tu ne dois pas t'arrêter. Fuis. C'est douloureux … Ton corps devient plus lourd à chaque pas qui s'enfonce dans l'épaisse couche blanche. Tes lèvres bleutées peinent à rester humides, elles s'ouvrent dans l'espoir d'un peu d'air. Puis, tu trébuches. Tes mains disparaissent, ton regard fuit l'horizon ; tu dois te relever. Luttant contre l'épuisement de tes muscles, jetant un regard derrière toi, tu sais que tu n'as plus rien : ce n'est pas chez toi là-bas. Ce ne sont pas ces étendues de neige et de glace qui te font fuir ta vie, ni la froideur de ces nuits, le climat n'est pas ton ennemi. Alors, que fuis-tu ? Tes mots se nouent dans ta gorge sèche. Tu es seul quand un bruit de craquèlement attire ton attention. Tes iris rougeâtres se relèvent lentement pour découvrir ta destinée, peut-être, ta fatalité. La naïveté d'un adolescent rattrapé par la force du destin. Étais-tu devenu un criminel pour un crime que tu n'avais pas commis ? Face à toi, un animal majestueux. Son pelage noisette, le bout de son museau blanc, des bois immenses … Tu ne connais pas tous les animaux mais celui-ci, tu ne le connais que trop bien. Au loin, à l'orée de la forêt, tu en voyais un. Au fond, tu les admires. Les rennes sont des créatures magnifiques, presque mystiques. Tu ne sais pas comment un être humain normal doit réagir, tu sais simplement que ton corps agit sans ton consentement. Doucement, tes dernières forces conduisent ton bas à se lever, tes doigts gelés peinent à se mouvoir, mais tu essaies de l'atteindre. Chaque effort est une torture, tes yeux se baissent avant de voir ton futur échec, mais tes doigts s'enfoncent dans la douce fourrure de la bête. Aussitôt, ta tête se relève pour observer le spectacle : tu en as rêvé de ce moment. « Je … T'aiderais ... » Une douce voix s'élève dans ta tête, celle-ci même qui te force à tourner la tête dans toutes les directions ; tu crains un villageois. Tu es seul. Non, il est là. À tes côtés, ce renne dont tu ignores tout. Avec délicatesse, il s'est allongé à tes côtés et tu te rapproches de lui. L'un contre l'autre, au chaud pour un temps, tu peux te reposer. « Je serais ton futur. »

RIMY

Désolée pour le retard Neah !!
Clovis et moi-même avions complètement zappé on s'excuse platement
Le test rp est doux à crever vraiment trop choupi et j'ai hâte de voir ça joué en rp c'est validé !