Messages : 48 Âge : 41 ans Métier : Luthier + contrebandier Défaut fatal : L'obstination Avatar : Geoffrey McCullum • Vampyr ((irl ; Troy Baker))
| de Ambrive | | Sujet: Le noyé qui criait au loup •• Maximilien Sam 22 Aoû - 23:43 | |
| Nom et prénomMaximilien Helundâge 41 ans | Or. sexuellePansexuel |
Origine Ambrive | Groupe Ambrive | Situation matrimonialeCélibataireMétierLuthier / ContrebandierParticularitéHumain pactisé (Narcisse)Défaut fatalL'obstination Jamais on ne t’écoute. Jamais on ne fait attention à tes peurs. Les ambriverains sont assez cléments pour venir te repêcher quand tu te retrouves pris au dépourvu, parce que quand bien même on ne prend pas en compte tes avertissements, on se dit qu’on ne peut pas te laisser couler au fond du lac sans pouvoir en ressortir. Les gens te trouvent pas facile à vivre mais au moins, l’avantage c’est qu’on apprécie ta franchise, quand bien même ça peut faire mal.
T’aimes pas vraiment garder les choses pour toi, à tel point que c’en devient parfois étouffant. Quand quelque chose te plaît, tu le fais savoir. Quand c’est le contraire, c’est la même chose. Et tu n’arrives que très peu souvent à contenir tes larmes. Tes propres larmes qui te font presque peur. Tout comme l’eau en général. Tu n’y arrives pas, tout simplement. C’est trop dur pour toi, et pourtant, tu t’obstines à espérer te faire écouter. Tu lâches rien, tu cries au loup, encore et encore, mais ta voix s’étouffe dans ton propre océan et dans l’ignorance des autres. Mais ce n’est pas ça qui arrêtera ta détresse permanente. Tu veux protéger les ambriverains, coûte que coûte, des doutes qui te hantent.
L’eau t’étouffe, et pourtant elle t’appelle, le lac aux joyaux renferme bien des secrets qu’on peine à découvrir. Ta curiosité te pique tous les jours ou presque, et pris d’une pulsion soudaine, tu viens faire une petite balade sur les berges. Tu sais qu’au moindre faux pas tu peux couler de nouveau, et pourtant tu y plonges, encore et encore, tu te dis que cette fois sera la bonne, que tu parviendras à remonter à la surface sans problèmes. Mais il y a toujours quelque chose qui t’en empêche, ton corps plonge plus loin encore ; tu t’énerves contre ta propre connerie, avant que l’angoisse ne revienne, te dévore jusqu’à ce que tu en perdes les moyens.
C’est toujours comme ça.
Quand tu rouvres les yeux, on te sermonne, on te traite d’inconscient, que tu devrais arrêter de t’acharner. Alors tu leur réponds d’un crachat, et tu viens déballer ta frustration avec de nombreuses grossièretés. Tu te relèves, tu pars dans ton coin, et tu les observes au loin ; tu sais qu’ils se moquent de toi, on te connaît bien dans le royaume, tellement bien qu’on finit par en rire. Un jour, quand ça leur tombera dessus, tu te diras qu’ils ont été prévenus par celui qu’ils appellent le Noyé.
C’est toujours comme ça. Pourquoi ils ne t’écoutent jamais ? Depuis peu, il y a cette jalousie qui naît, qui t’emporte, te rend fou.
Peut-être qu’au final, ils ont raison ?
| | communicatif • franc • coriace • protecteur • curieux • obstiné • de plus en plus jaloux • lourd • emporté • impulsif • angoissé • revanchard • pleurnichard • inconscient • grossier • revêche en général
1m85 • 87kg • Physique robuste, bon combattant • Tout à fait capable de chasser • Peau pâle, parsemée de cicatrices • Traits tirés sous le stress, encore plus depuis ton pacte imposé • Yeux bleus très expressifs, tu es incapable de cacher quoi que ce soit aux autres • Cheveux noirs naturellement, mais ils sont autrefois passés par des crises capillaires aux couleurs extravagantes • Jamais rasé à blanc • Tatoué à l’épaule droite
Peur de l’eau (et de tes larmes) et de la noyade × Don d’apnée × Mais incapable de nager correctement sans couler, un comble pour un ambriverain × La panique te gagne très souvent quand tu t’immerges dans l’eau × Pourtant c’est plus fort que toi, tu dois aller dedans × On est obligé de te repêcher les trois-quarts du temps × À cause de ça, tu es persuadé que quelque chose cloche, parce que tu n’es pas censé vivre ça × Humour plus que douteux × On dirait pas, mais tu as quand même un bon fond × Malade à cheval × Sommeil très lourd × Possède l’oreille absolue, une plaie au quotidien × Protège très bien son identité au marché noir × Campe trop souvent sur ses positions × La menthe te provoque des plaques × Voix qui porte beaucoup × Adepte des emplois du temps bien carré, tu n’aimes pas les imprévus × Étonnamment tactile × Prend les choses très à coeur × Peut utiliser des mots dont tu ne connais pas le sens pour faire genre × Mange salement et uniquement avec les mains la plupart du temps × Plus à découvrir plus tard
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Sombrelune et l'Ordre des Mages Tu refuses d’en parler, mais tu ne sembles pas hostile à leur manière de vouloir contrôler la magie. Tu n’as pas pour objectif d’éveiller une magie qui pourrait t’effrayer un peu plus.
Malronce Ça sent l’hypocrisie à plein nez. Un jour, Malronce viendra dévorer les terres qui t’abritent et vous vous éteindrez à la moindre rébellion. Mais si le royaume s’entend bien avec Malronce, alors tu feras comme eux, non sans avoir une amertume au fond de la gorge.
Belorge Si Belorge est une terre aussi accueillante, ce n’est probablement pas pour rien à tes yeux. Leur façon de faire les choses te convient parfaitement, et c’est sans animosité que tu viens parfois leur parler.
Briserune Leur histoire est triste, mais méritée. Tu crains qu’un jour il n’arrive la même chose à Ambrive et que tes compères s’éteignent à la moindre bribe de rébellion, alors tu préfères leur tourner le dos et te concentrer sur tes problèmes.
Ambrive La terre qui t’accueille, qui se moque de ta peur, qui ignore tes avertissements. Pourtant tu ne peux pas leur en vouloir éternellement, tu es bien déterminé à leur faire entendre raison, quitte à devoir crier au loup encore et encore jusqu’à ce que tes doutes prennent forme.
Grandvent Tu approuves leur pacifisme, et les guérisseurs qui en viennent. Leur affinité avec la nature et leur respect profond de la vie attise une sympathie naturelle de ta part envers les habitants. | |
Éveillé à la magie ? Non. “ Est-ce qu’un ambriverain peut se noyer ?” Ta vue se trouble, tes yeux se ferment par réflexe. Ta respiration se coupe, tu as toujours peur de te noyer alors que pourtant, respirer sous l’eau est naturel. Toute ton enfance on a tenté de te faire nager de force, on t’a calmé à coup d’eau froide, on a noyé tes larmes et tes crises en espérant te calmer. Toute ton enfance, tu as baigné dans ce liquide te terrifiant aujourd’hui ; tu en veux à tes parents, à ta grande sœur qui pensaient probablement bien faire en essayant de t’habituer à l’élément du royaume qui t’a vu naître. Tout ce qu’ils ont réussi à faire, c’était de briser ta confiance en cet élément vital.Tu as grandi stressé, angoissé à l’idée d’y retourner sans ton accord. À Pâlécaille tu étouffais, tu avais cette impression constante de te noyer alors que ce n’est pas possible. T’as pété les plombs plusieurs fois, et finalement, tu t’es engagé dans l’armée à tes dix-sept ans pour te tenir loin du lac et de son merveilleux village. Tu as été fidèle au poste pendant cinq longues années, où tu as pu apprendre à te battre, et aller directement t’occuper des conflits. Puis finalement tu es parti, comme appelé par ce lac mystérieux que tu n’as pas pu découvrir de fond en comble quand tu en avais l’occasion. Justine, ta sœur, avait quitté le village pour rejoindre les berges ; tu es allé vivre avec elle, non sans la sermonner sur ce qu’elle a bien pu te faire subir quand tu étais plus jeune. Elle s’est excusée, et tu as refusé de la pardonner. À tes yeux, il fallait qu’elle se rachète, et elle a essayé comme une folle furieuse pour regagner ta confiance. Elle aurait pu la reprendre, mais il a fallu qu’à tes vingt-quatre ans, tu ailles nager tout seul pour faire ce que tu n’as pas pu faire plus tôt dans ta vie. Il t’a fallu du temps pour t’immerger, mais voilà que tu nageais tranquillement, à la recherche de trésors. Et tu as plongé la tête sous l’eau, tout est remonté à la surface. Les bulles éclatent hors de l’eau, ta gorge se noue, tes yeux se ferment et la panique te gagne. Tu étais en train de te noyer.Pas littéralement, mais c’est l’impression que tu as eu. L’eau s’est infiltrée dans tes narines, ta raison a comme cessé de fonctionner à cet instant. Tu sens ton corps lourd être emmené au fond du lac, là où tu iras probablement mourir. Tu as essayé d’inspirer, rien n’y fait, la fatigue t’a vaincu, tu as cessé de te débattre pour sombrer. La peur t’étreignit une dernière fois, te berçant dans ses bras, et tu n’as pas senti pas qu’on est venu te récupérer des heures plus tard. Un regard échangé avec ta sœur, puis avec tes sauveurs. Le temps de reprendre connaissance, tu as recraché quelques gouttes d’eau et tu as déjà commencé à vitupérer. Puis rapidement, tu es allé t’accrocher à la jambe du premier homme qui a tenté de te repousser. “ Quelque chose ne va pas avec le lac, il s’est passé un truc étrange.” Un rire, puis deux, puis finalement, c’était toute la foule qui était en train de se moquer de lui. Même ta sœur !Ni une ni deux, ton sang n’a fait qu’un tour, et tu as fini par quitter le village pour t’isoler et vivre de la chasse. Tu évitais les contacts au début, et tu ne te gardais pas de prévenir les gens avec qui tu commerçais pour les prévenir de tes doutes concernant le lac aux joyaux. Les nouvelles sont allées très vite, et les moqueries se sont répandues bien plus loin qu’autour des berges du plus grand point d’eau de Valdore. Pourquoi il fallait que ça soit toujours comme ça ?Vingt-sept ans passés, tu sentais toujours l’appel des berges, et ce, malgré ta peur de l’eau. Tu as toujours été obstiné, et tu comptais bien prouver à tout Ambrive que tu avais raison et que tu n’étais pas qu’un pauvre homme qui criait au loup. Alors tu es revenu dans un village près des berges, ceci dit, tu n’étais plus si habitué que ça à l’étendue d’eau. Dès que tu voulais te lancer, ton regard se perdait dans les profondeurs, les larmes te montaient aux yeux et tu t’es dégonflé pendant plus d’un an comme ça. Tu aidais les villageois en proposant tes services le temps de trouver du courage, en espérant sauter le pas. Un luthier a même fini par te prendre sous son aile pour t’apprendre les ficelles du métier, se servant par la même occasion de ton oreille absolue et très pénible. Un jour, tu as recommencé. Et tu as coulé, le même scénario se reproduisait, encore et encore. Cette sensation de te noyer.Tu te sentais comme un boulet pour tout le monde, parce qu’on devait te repêcher. Pourtant, tu continuais de crier au loup. C’était toujours comme ça.Une nuit, après avoir fêté tes trente-cinq ans, tu as encore plongé. Tu avais observé les remous pendant des heures, le soleil s’était couché, il était peut-être temps de t’immerger. Cette fois, tu ne comptais pas laisser la peur te gagner. Tu irais de toi-même au fond du lac, pour découvrir ses secrets. Sauf que les souvenirs sont revenus, toujours plus douloureux, l’eau qui t’entourait te donnait l’impression d’être en prison, une pression vint écraser tes poumons et tu as fermé les yeux, tu es tombé, lentement. Inconscient, mais bien vivant, tu es entré en contact avec une faille, que tu as confondu avec un objet suspect à la surface. Un démon en est sorti, a saisi l’opportunité pour t’enchaîner à lui et faire de toi son pactisant. Narcisse.Quand tu t’es réveillé sur la berge, tu t’es immédiatement convaincu d’avoir un problème avec le lac aux joyaux. Ce putain de démon refusait de te lâcher, et tes pensées étaient tellement mélangées que tu ne savais pas comment justifier ce qui a bien pu se passer pendant que tu étais inconscient. Les doutes ont repris leur place – et pour les autres, c’était une raison de plus pour se moquer de toi, et renforcer la blague de l’ambriverain noyé. Tu étais frustré, mais ce n’est pas pour autant que tu as démordu. Le seul qui t’écoutait, c’était ce type que t’as rencontré en voulant vendre tes bêtes. C’était probablement le seul ambriverain qui te croyait, peut-être pas sur parole, mais il avait gagné ta confiance rien qu’en te soutenant. Facette ou pas, tu n’en avais rien à foutre, tu as gardé contact avec lui au travers de lettres envoyées de temps en temps. Et quand il t’a proposé un boulot un peu spécial, tu as accepté sans même réfléchir. Parce que ça te permettait de réfléchir à un moyen de te faire entendre. Alors tu t’es rendu à Trois-Rivières pour l’assister et vendre toutes sortes d’importations illégales. Tant qu’il s’assurait que ton identité n’était jamais dévoilée, tu pouvais te permettre d’amasser un bon pécule. Au marché noir, personne ne se moquait de toi. Et tu t’aérais la tête pour penser à autre chose et revenir à la charge des jours plus tard, toujours avec le même discours. C’est toujours comme ça, tu t’obstines vraiment à vouloir convaincre tout Ambrive que le lac aux joyaux n’est pas ce qu’ils prétendent être une merveille.- RÉSUMÉ:
• Né à Pâlécaille d’une famille de pêcheurs, il est le petit dernier ; il a une grande sœur née quatre ans avant lui. Elle s’appelle Justine.
• Sa peur de l’eau est arrivée très vite, à cause de ses parents qui le plongeaient dans l’eau froide quand il faisait de trop gros caprices et crises de larmes. Sa grande sœur a tenté de “l’aider” en le jetant régulièrement à l’eau pour lui montrer qu’il n’avait pas à avoir peur de se noyer. Malheureusement, ça n’a jamais marché.
• Depuis ce jour, il a du mal à se jeter à l’eau, bien que ce soit plus de l’appréhension qu’autre chose. Il a cumulé pas mal de stress au fil des années à cause de sa famille car il ne voulait plus être mis à l’eau sans son accord.
• Afin de s’éloigner du lac et des cours d’eau, il s’est engagé dans l’armée d’Ambrive à ses dix-sept ans, pour la quitter cinq ans plus tard, à vingt-deux ans.
• Revenant vivre près des berges avec sa sœur qui a quitté Pâlécaille, ils vivent de la pêche et Justine s’excuse de son comportement impardonnable de sa jeunesse. Maximilien ne lui pardonne pas, mais lui laisse une chance d’essayer de se racheter.
• À ses vingt-quatre ans, il se décide à aller nager tout seul, curieux de découvrir les profondeurs du lac. Malheureusement pour lui, de vieux souvenirs remontent, le stress cumulé pendant des années et une peur contenue jusque-là lui fait perdre les moyens ; il a l’impression que quelque chose l’emmène au fond de celui-ci. Même doté du don d’apnée, il a l’impression de se noyer, et perd connaissance. Quand il reprend conscience, il est entouré de plusieurs personnes et de sa sœur.
• Ses souvenirs sont flous et se mélangent avec ses cauchemars, à tel point qu’il commence à raconter qu’il sent que quelque chose ne va pas concernant le lac. Immédiatement moqué par ses sauveurs, sa sœur suit le mouvement en pensant qu’il blague.
• Déçu, il quitte le village pour aller s’isoler ailleurs et apprendre la chasse. Il a vécu presque tout seul pendant trois ans, non sans essayer de prévenir tous les ambriverains avec qui il interagit concernant ses doutes du lac. Les nouvelles vont vite, et les moqueries se répandent plus loin qu’autour du lac aux joyaux.
• Il revient finalement dans un village près des berges à ses vingt-sept ans, et s’obstine à tenter de trouver ce qui le dérange concernant le lac. Malheureusement pour lui, il se dégonfle à chaque fois qu’il veut plonger pendant plus d’un an. En attendant de retrouver du courage, il aide les villageois en proposant ses services avant qu’un luthier ne le prenne sous son aile.
• Il reprend ses baignades, mais elles ne se passent pas toutes comme prévu. C’est toujours le même scénario quand ça tourne mal, il finit par paniquer et couler au fond du lac. Quand il n’arrive pas à remonter de lui-même, on est obligé de le repêcher et il se sent comme un boulet. Pourtant il continue de s’acharner et de clamer la même chose.
• À ses tente-cinq ans, il plonge au fond du lac. Cette fois-ci, il est persuadé d’avoir une preuve, mais il cède une fois de plus à la panique et coule. Sans s’en rendre compte, il entre en contact avec une faille, et un démon se sert de l’occasion pour se lier à lui contre son gré. Quand il se réveille sur la berge, il se convainc lui-même d’avoir un problème avec le lac aux joyaux, sans pour autant parvenir à trouver la raison. Et après tant d’années à espérer comprendre sans rien, ça le frustre.
• Il a besoin de voir du paysage, fait des allers-retours entre le village près de la berge et Trois-Rivières pour aider un ami qui le fait rentrer au marché noir en tant que contrebandier. Il ne l’aide pas tout le temps, mais ça lui permet de s’éloigner du lac le temps de réfléchir à une façon de se faire entendre.
slt moi c’est Calebabines, ça fait très longtemps que j’ai pas pointé le bout de mon nez avec mon telephonte mais voilà si certains me reconnaissent sachez que mon téléphone est toujours maudit sur la chatbox et qu’il a tendance à mixer deux mots qui n’ont rien à voir… jvm fort. Ah et vive les phoques AVATAR Geoffrey McCullum Vampyr |
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