La fête battait à son comble, la météo avait été clémente en ce jour sacré. Malgré le couché de soleil qui ne tarderait pas, le ciel était si clair qu’Elizabeth comprenait pourquoi chacun profitait pleinement de l’événement. Un brouhaha qui se voulait, comme chaque année, incessant mais qui s’était finalement tut sans la moindre raison.

Autour d’eux, Colza n’était qu’un silence de mort. Le peuple qui s’amusait gaiement quelques secondes auparavant semblaient perturbés, au point même qu’elle perdit de vue le reste de la famille royale ainsi que sa collègue de travail tant la foule semblait déstabilisé. La Princesse Maïa qui s’était légèrement éloignée était revenue au côté de sa garde et celle-ci observait les alentours pour comprendre le sens de ce silence : une surprise, peut-être, c’était-elle imaginée, dont elle n’avait pas été tenu au courant.  

Alors son intérêt s’était concentré plus encore sur l’altesse royale Maïa, du moins jusqu’à l’éruption de deux jeunes adolescents.

« Ne vous approchez pas, restez où vous êtes. »

Avait immédiatement clamé Elizabeth lorsqu’un garçon s’était rapproché d’elles pour finalement l’agresser verbalement, l’intimement de les protéger. Peut-être étaient-ils poursuivis car après tout, la fête de la magie était un temps idéal pour ce genre d’action, tant le peuple avait l’esprit embrumé par la jovialité de l’événement. Pourtant, la prise de parole de la Princesse Maïa semblait aller en ce sens. Ainsi, l’incompréhension survient.

Car elle avait vue Azazel ainsi que les altesses royales Electre et Euterpe partir vers une direction totalement inverse, comme si leur pas étaient incertains et Elizabeth avait fini par les perdre de vue lorsqu’ils étaient entrés dans les rues commerçantes. Alors, elle n’arrivait pas à en comprendre le sens.

Et, de ses sourcils froncés, le regard qui restait bloquer sur le garçon dont l’impolitesse l’agaçait. La garde s’avança avec rapidité pour bloquer la marche de la Princesse Maïa, s’approcher ainsi d’inconnus aux propos étranges n’étaient en rien une bonne idée.  Ainsi, elle s’était positionnée entre eux afin d’exprimer une distance de sécurité, le seul danger qu’Elizabeth présentait, était l’encapuchonné et son accompagnant irrespectueux.

Et d’une main sur la garde de son épée toujours sur ces gardes à l’encontre du garçon, elle s’était rapprochée de la Princesse Maïa pour lui signifier le plus bas possible.

« Excusez-moi, de vous questionner ainsi mais, parlez-vous bien de ce malotru ? »

Car d’une façon ou d’une autre, l’altesse royale Maïa n’était pas du genre à agir de la sorte à de simple parole. Autant, la garde royale se questionnait tout autant sur ce silence soudain en temps de fête, plus encore les propos de l’un tout comme de l’autre, sonnaient énigmatiques à ses oreilles. Et alors de manière bien plus sèche et forte, de façon à ce qu'ils puissent tout deux l'entendre, cette fois-ci, elle leur ordonna.

« Veuillez décliner vos identités. »


résumé;
— S'imagine qu'il y a une "surprise/événement" lorsqu'elle remarque le silence de mort
— Vénère contre Valerian et lui demande de ne pas s'approcher.
— Main sur la garde de l'épée, prête à se bagarre (plus contre Val qu'autre chose)
— Questionne Maïa sur le "danger" qu'elle évoque

Une légère inclinaison de tête lorsqu’un visage faussement familier s’approche du comité. Le regard toujours perçant envers ce garçon, mais Elizabeth prend toutefois la peine de saluer la dernière arrivée.

« Mage Ravenrose. »

Un savoir d’étiquette tout au plus, la garde royale avait une très faible connaissance vis-à-vis des Mages du royaume de Belorge. Son intérêt pour eux ayant décliné au fils des sept dernières années. Et alors, de son regard toujours crispé, l’un de ses sourcils s’était très légèrement élevé. D’une part face aux propos de la Mage, mais aussi à la suite de l’explication de la Princesse Maïa. Alors, un faible instant elle s’était détournée des deux enfants pour faire pleinement face à son incompression.

« De quelle obscurité parlez-vous ? Le soleil n’est même pas encore couché et je n’entends rien de tel qui pourrait être considéré comme des grognements, si ce n’est les beuglements de ce garçon. »

Elizabeth semblait calme, terriblement posée. Mais en vérité, c’était le cœur serré qu’elle ait pu manquer à son devoir, qu’un mal terriblement puisse avoir frappé l’altesse royale Maïa sans même qu’elle ne l’est remarqué. Alors malgré tout, car les mots de la Princesse était absolus, il lui était très difficile de les remettre en doute tant elle semblait sincère dans ce qui l’entourait présentement. Ainsi, elle avait observé les horizons avec une grande attention tout en tentant de se concentrer sur son ouïe, la place devant le palais avait été comme qui dirait vidé de toute fête, mais il n’y avait pas la moindre présence de grognement.

Du moins, pendant un temps. Car c’est bien venu de nulle part qu’apparaissent autour d’eux sept monstres aux allures déplaisantes. Immédiatement et comme unique réponse, Elizabeth dégaina son épée faisant tinter le métal de son arme contre le fourreau tant le geste était d’une rapidité extrême. Toujours devant sa Princesse, Elizabeth parerait de son corps tout attaque qui lui serait destinée. Il lui était toutefois difficile de rester concentré tant le nombre de menace potentiel à son encontre semblait incommensurable.

Ainsi, en position de combat lorsque deux des monstres viennent à vous sauter dessus. Toutes deux dans une harmonie parfaite, l’une s’approchant de son Altesse Royale et la seconde des enfants. Il était triste à dire, bien que son serment de protection était aussi destiné envers le peuple, face à une telle situation, Elizabeth ne prendrait même pas un millième de seconde pour y réfléchir. Son calme était sincère même si son inquiétude était implacable, une multitude de question qui prenait forme de son esprit, comme par exemple l’incompréhension sur ces formes inconnues. Mais, de toute évidence, elle n’avait ni le temps ni l’envie que la Princesse se fasse dérober par l’une de ces atrocités.

Alors elle avait réagi en conséquence, en garde prête à foncer sur la seconde bête lorsque celle-ci fut stopper dans son saut par une tombée de terre. De l’autre côté, un flash lumineux -qui n’avait rien de très extravagant compte tenu de la vision d’Elizabeth-, et sur cette retombée, elle engouffre son épée dans la gueule du premier afin de mettre toute ses forces dans un coup d’épée de l’intérieur. Prenant ainsi l’élan sur le côté, elle s’approche de quelques pas des enfants pour frapper le second monstre. Le souffle saccadé qu’elle tend à contrôler, Elizabeth se retire aussi rapidement que possible pour reprendre sa position auprès de la Princesse Maïa.


résumé;
— Elle explique qu’il fait encore jour et qu’elle n’entend rien
— Elle remarque (finalement) les bêtes lorsqu’elles entourent le groupe
— Epée en main, elle plante son épée dans la bouche de la bête qui s’est arrêtée (je considère qu’ayant reçu le peu de magie de Maïa, elle s’est stoppée dans son saut) et met toute sa force dans un coup sur le côté
— Dans son élan, elle ressort son épée et donne un coup tranchant (haut en bas) sur la tête de celle de Valerian et Kara (après si l’épée reste bloquée dans le premier ??? Considérer que cette partie n’est pas faite)

Un goût amer au travers de la bouche, les jeunes ne savaient de toute évidence plus se tenir. Elizabeth qui n’était pas capable de comprendre cette peur qu’ils ressentaient, et qui ne recevait que des ordres et des demandes qui dans d’autres situation, résulterait de plus qu’une simple irritation. Car à ses yeux, ce n’était qu’une pure incompréhension, la garde n’avait de toute évidence pas le temps de se questionner sur l’identité de ces créatures ; a l’heure actuelle, elle ne pouvait que supposer qu’elle ne sortait pas suffisamment du palais.

« Alors couvrez moi ! »

Avait-elle clairement ordonné face à ces propos. De toute évidence, l’inconnue était capable d’utiliser la lumière, celle-ci avait d’ailleurs parfaitement fonctionné. Plus encore, Elizabeth savait que l’altesse royale Maïa n’était pas capable d’une telle prouesse. Restait seule la mage Ravenrose, mais deux soutiens valaient de toute évidence mieux qu’un. Mais tandis qu’Elizabeth s’apprêtait à s’avancer, elle l’avait entendu. Cette peur irrationnelle qui la hantait jour et nuit, venait de se réaliser. Aujourd’hui, et bien pour la première fois depuis qu’elle servait la Princesse Maïa, celle-ci avait été blessée sous sa protection, plus encore, d’une façon qui lui était totalement inconnue.

La panique dans son regard clair, lorsqu’elle pense comprendre. Du moins, pas complètement. Car elle vient à passer ses doigts sur son visage pour y récupérer ce liquide rougeâtre, cette unique explication. De toute évidence, une réaction qui n’était pas souhaité mais ne semblait atteindre que la peau dénudée de la Princesse.

« Votre cape. Je vous en conjure, donnez-lui votre cape. »

Quand était-il de la vie du peuple ? Importante aux yeux d’Elizabeth, certes, mais malheureusement la balance inclinerait toujours vers l’unique Princesse Maïa. Alors, cela aurait pu sonner comme un ordre, une exigence immature qui n’avait que faire de la vie de parfaite inconnue. Mais pourtant, le ton neutre qui se voulait jouer la supplication. Elizabeth en avait besoin, misérablement, comme un faux gage de sureté. Et alors, elle s’était élancée.

« J-… ! »

Le souffle qui se perd, qu’elle manque de peu de se mordre la langue lorsqu’elle remarque du coin de l’œil le garçon bousculer l’Altesse Royale avec grande rudesse. Elizabeth déglutine un instant, une envie meurtrière qu’elle arrive difficilement à évincer lorsque la Princesse se relève. Si le garçon avait des chances de survivre à ses monstres, il ne ferait aucun doute qu’il souffrirait de l’après. Mais malgré tout, une rage incommensurable qu’elle n’arriverait pas à taire.

Le garçon, la blessure de la Princesse, l’incompréhension face à leur réaction et à cette situation. Tant de facteur qui la rendait hors d’elle. Et elle frappe de tout son cœur, avec la plus grande sincérité du monde. Un coup si féroce que même Azazel, sa partenaire depuis toujours, ne pourrait pas la reconnaître. Mais face à tout cela, elle remarque à ses arrières un second monstre qui avait pu passer, bien que celui-ci semblait être immobilisé. Un court retour qui s’exprime dans un faible coup d’épée sur ses pattes arrière avant qu’elle ne reparte de plus belle.

Une appréhension entre le choix de croire ou de tenter de la rattraper. Car il lui était très dur, plus que tout, de croire l’ordre des mages depuis son éveil. Et pourtant, face aux trois autres monstres grondant contre la terre, la garde maintient sa garde.

« Nous sommes près du palais. Quelques marches à monter et un léger sprint tout au plus. Si vous êtes capable de grimper, je fermerais la marche. »

Et alors elle se détruit l’intérieur de la joue, à défaut de s’en mordre les ongles.


résumé;
— Cris à Kara qu’elle à cas la couvrir (= faire un flash lumineux très fort et elle s’occupe du reste, franchement tu l’as faire une fois )
— Demande à ce qu’on donne la cape à Maïa pour que sa peau reste couverte
— Avant même que les deux bêtes ne foncent sur le groupe, Eli s’était engagée mais remarque que Val pousse Maïa
— #colère
— #colère coup d’épée pas content sur la première
— Derrière la seconde qui est immobilisée par les lianes de Maïa, elle arrive tout juste à lui donner un coup dans les pattes arrière et espère que ça sera suffisant pour Oriona
—  Reste légèrement avancée à contre cœur, entre les trois bêtes restantes et le groupe pour qu’ils l’attaquent elle. S’apprête à foncer dans le tas pour vous permettent de rentrer au palais

Une voix s'éleva parmi vous et tu te figea quelques secondes. Cette voix, tu la reconnaissait. Ce timbre de voix colérique...

-Kara??!!

Tu n'en dis pas plus car deux autres créatures commencèrent à foncer sur toi et la princesse. Princesse qui avait d'ailleurs une sale mine après avoir reçu quelque chose sur le visage. Sa garde semblait plus que perturbée. Tu l'aurais bien aidé mais, de une tu n'avais pas de cape et, de deux, tu te retrouva par terre et étourdie quand les créatures crièrent.

Tu eu à peine le temps de réagir quand l'un des monstres s'approcha de toi. Tu fis jaillir une poutre fine du sol qui heurta la créature en plein dans la mâchoire avant de répondre à la princesse

-Si je peux utiliser la lumière! Mais ce n'est pas mon élément principal!

Sauf que là, actuellement, il ne fallait pas faire de chichi. La garde t'aida un peu avec ton monstre et tu utilisa la lumière pour le neutraliser. Et, sans grand étonnement, ça marchait. Kara avait vu juste! Tu sentais même que c'était plus puissant que ce que tu avais pu faire.

Tu entendis que le palais n'était pas trop loin et que la garde vous proposait de vous y réfugier. Bonne idée. Rapidement, tu te plaça à côté d'elle

-Je vais t'aider à les retenir! Aller dans le palais, vite! Kara aide les sur le chemin, il y a que toi et moi qui avions la lumière!

La princesse l'avait dit elle même qu'elle n'avait pas la magie de la lumière. Alors autant que tu aide autant que tu puisse le faire. Surtout que c'est plus puissant en ce moment, allez savoir pourquoi.

Du coin de l'oeil, tu regarda Elizabeth

-On va s'en sortir! Je te couvrirais autant que possible!

Et tu fera de ton mieux, autant avec la lumière qu'avec la terre un peu capricieuse. Votre survie à tous en dépendait plus ou moins.

Résumé:
-Reconnait Kara
-Utilise la lumière pour attaquer les monstres après avoir été étourdie
-Accepte l'idée d'Élizabeth
-Reste en arrière avec elle pour l'aider
-Demande à Kara de couvrir les autres comme elle peut

C’est un claquement de langue qui raisonnait dans la totalité de son crâne. Du coin de l’œil qu’elle vient remarquer deux d’entre eux à terre. Seule la Princesse Maïa semblait garder une certaine stabilité grâce à l’interposition du malotru. Et son cœur se met à battre bien plus fort, bien plus vite. Chacun des battements qui brulent dans ses oreilles. Mélange d’adrénaline et de sombre pensée, elle qui s’était imaginée que son coup dans les pattes arrière auraient pu être suffisant. Elle qui, malgré tout son ressenti à l’égard des Mages avait réussi à en passer outre et de confier son Altesse Royale à Ravenrose. Pour qu’au final, sa vie soit sauvée par un garnement. Sa raison était donc sincère, il n’y avait bien aucune raison à ce qu’Elizabeth puisse croire en quiconque lorsque cela concernait ses intérêts.  

Et en tant normal, elle aurait remercié la jeune demoiselle de lui apporter un soutien face aux trois monstres. Du moins, si dans son dos n’était pas présente l’ultime danger pour cette personne dont Elizabeth donnerait sa vie sans même y réfléchir un seul instant. Un choix, une condamnation qui avait bien du sens dans son éducation. Alors, lorsque les bêtes finissent par s’approcher c’est un coup d’épée sur le côté. Une unique frappe dans l’idée de les faire reculer et de gagner la distance. Car aussitôt l’action terminée, qu’elle se retourne courant à toute allure pour monter les premières marches.

Un flash lumineux derrière elle, l’espoir que celui-ci serait aussi concluant que le premier dont elle avait été témoin. Parce qu’elle était désolée. Désolée d'abandonner quelqu'un de cette façon. Désolée de courir alors que son souffle était si difficile à trouver. Désolée de prendre les marches deux à deux dans l’unique but de la protéger. Car elle était bien inoffensive à monter les marches alors qu’elle portait celui qui lui avait sauvé la vie. Mais, elle n’était pas désolée de courir ainsi alors qu’une mage de l’ordre des mages était présente, car Elizabeth était de toute évidence, incapable d’y croire.

Alors le bras bien droit dans sa course, elle fonce sur la bête qui en avait mit deux au tapis. Mais de là, dans son élan, une marche qui finalement, met enfin la garde à terre. L’épée dans le monstre dont un rien manquait de lui faire lâcher sa garde d’épée. Genou à terre, haletante. Des battements de cœur fou qui ne désiraient que trouver le repos, mais pour cela, la Princesse Maïa devait être en sécurité au palais.  

résumé;
— C’est la barbamerde dans son esprit
— Fait un coup d’épée horizontale pour tenter d’essayer de faire reculer les trois bêtes qui se jette sur elle
— Tape le sprint du siècle pour suivre Maïa et embrocher la bête qui était encore là
—  Concrètement l’épée toujours dans la bête, elle est un genou à terre parce qu’elle à mal montée une marche et qu’elle est épuisée
—  Elle a un peu (beaucoup)(vraiment) besoin de reprendre son souffle alors à part éventuellement bloquer de son corps pour tenter de bloquer les marches, elle a besoin d’un peu de repos (essayer de courir en armure et on en reparlera)
— Dsl Kara dans les faits je te laisse pour morte pour protéger la princesse mais o fond ki es-tu (jtm) J’espère quand même que ton flash lumineux à mit ko les trois autres débiles pour gagner un peu de temps quand même

Elizabeth qui avait accepté en quelque sorte, elle n’avait au fond que faire de sa situation. Il lui était acceptable de rester derrière, sur les escaliers face aux monstres restants tant que la Princesse réussissait à se rendre au palais. Car de toute évidence, la garde n’était pas le genre de personne qui était capable d’appeler à l’aide. Peu souvent, il n’existait que deux possibilités qui étaient toutes simplement absolue à ses yeux. Défaitiste, peut-être car la surprise avait été ressenti lorsqu’une pression lui était venue en aide.

Et malgré toute l’appréhension qu’elle ressentait à l’égard des mages, malgré toute son envie de se jeter à terre pour exprimer le refus d’être aidée par une personne qui appartenait à l’ordre des mages. Elizabeth n’avait rien fait. Elle n’avait rien dit. Rechignait juste dans son intérieur le plus profond et montait les marches avec l’appui bancal que lui proposait la mage Ravenrose et alors, elles avaient fini par traverser les portes du palais qui s’étaient refermées sur elles.

Pour l’heure, Elizabeth se permet de s’écrouler contre le mur qui vient soutenir son corps fatigué. Elle ne pouvait simplement pas se permettre de rester au sol, bien que le palais puisse être source de quiétude le simple fait que les bêtes étaient apparus comme par magie, signifiait qu’ils n’étaient peut-être pas en lieu sûr, même dans l’enceinte du palais. Alors elle reste silencieuse à observer l’intérieur, guettant l’arrivée des gardes du palais, car dans son état actuel elle ne cracherait pas sur un peu de soutien.

Notamment lorsque son regard glisse et que ses yeux s’ouvrent grands de stupéfaction. Et alors elle réveil son corps avec difficulté, marche d’une lenteur malgré l’activité élevé de son cerveau. S’approche tant bien que mal, ses actes en échos aux paroles de sa Princesse. Comment pouvait-il être si inconscient, car la vie d’une Princesse valait mille fois la vie de quiconque. Alors lorsqu’elle arrive enfin à sa hauteur, elle tente de le saisir par le col pour le rejeter en arrière.

résumé;
— Elle observe attentivement le palais pour essayer de trouver les gardes qui devraient normalement y être (on dit pas non à une aide potentiel venant de collègue quand même).
— Essaye de tirer Valerian par le col pour qu’il s’éloigne des portes qui devraient rester fermées pour toujours si vous voulez son avis.