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cour des miracles | feat. Renard (flashback - juin 1020)
Asaël Bethsaïde

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Asaël Bethsaïde

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Sujet: cour des miracles | feat. Renard (flashback - juin 1020)   Mer 25 Nov - 21:14




cour des miracles //
« some are like water, some are like the heat. some are a melody and some are the beat. sooner or later they all will be gone. why don't they stay young? » — feat Renard
Ca semblait faire une éternité qu'il n'avait pas mis les pieds ici, Asaël. Trop longtemps pour ne pas ressentir le manque de la véritable chaleur humaine qui habitait ces lieux. Pas assez longtemps pour y passer pour un étranger. L'acrobate est cet oiseau migrateur qui va et vient avec les saisons.

Revenir au milieu de ceux qui lui ressemblent, ça lui serrait joyeusement le cœur. C'était rentrer à la maison, ou ce qui s'en rapprochait le plus. Voilà la seule chose qui rendait cette ville pourrie supportable, vraiment. La couleur des tentes rayonnait sous le soleil qui cognait dans la chaleur du début de l'été, et Asaël ne pouvait déjà plus que se laisser happer par les odeurs et les sons à la familiarité rassurante.

Zorya dans les pattes, il zieutait attentivement autour de lui. Parmi tous ces visages familiers qui le saluaient, il espérait en voir un tout particulier apparaître. Et quand on parle du loup, on en voit le bout de la queue. Le regard de l'acrobate croisa celui de la propriétaire de ce petit royaume, à peine quelques mètres plus loin.

Il avait le pas dansant, Asaël. Comme s'il se mouvait sur un rythme qu'il était le seul à entendre. Comme s'il n'était plus que l'un de ces petits jouets sauteurs qui fascinent les enfants. Abandonnant son imposant sac près d'un chariot qu'on avait laissé traîné là, il en sortit un petit paquet qui semblait avoir été fait avec les moyens du bord.

Quelques pas gracieux et une grande révérence, comme s'il entrait en scène.

"J'espère que je t'ai manqué au moins un peu, patronne !"

Les lèvres de l'acrobate s'étaient parées d'un sourire flamboyant, alors qu'il tendait à Renard le cadeau qu'il avait eu la délicatesse de lui ramener.

"J'arrive jamais les mains vides, tu me connais ! Ouvre vite, ouvre vite ! J'ai hâte de voir ce que tu en penses !"

Elle en serait sûrement bien plus ravie que le marchand de pierres grassouillet qu'il en avait discrètement délesté.


Renard Bellay

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Renard Bellay

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Sujet: Re: cour des miracles | feat. Renard (flashback - juin 1020)   Jeu 26 Nov - 23:59


Cour des miracles.
Jours heureux
Juin 1020.


Les saisons ont passé et voilà bien longtemps désormais que le favori n'a pas fait son apparition. C'est que la reine du cirque s'impatiente toujours de voir son chouchou apparaître dès que la pensée se tourne vers son souvenir.

Mais aujourd'hui ne déroge pas à la règle : un cirque a besoin d'un chef d'orchestre pour vivre et c'est elle qui tire les ficelles de ses jolies marionnettes. Alors accompagnée des tintements de tout l'or sur la peau, sa voix s'élève pour encadrer ce joyeux chaos dont elle fait partie.

Quelle surprise quand elle voit la silhouette gracile danser vers elle ! Tout s'arrête et tous y sont habitués, le fils prodige est de retour et Renard le fera sentir comme le centre de son monde comme elle le fait si bien avec tous mais bien plus sincèrement avec lui. Un grand sourire lumineux sur les lèvres peintes, les gestes théâtraux quand elle s'approche de lui, le laisse à peine se courber pour venir cueillir son visage entre les mains.

– Mon adorable Asaël, mon chéri !

La voix qui roucoule quand elle vient le couvrir de baisers encore et encore, l'entoure de sa chaleur alors qu'il n'a même pas encore pu lui offrir son présent. C'est qu'on l'aime si fort Asaël, on l'aime sincèrement, de tout son coeur.
Renard rit, caresse les mèches folles avec un air tendre quand enfin l'ami, le frère se tient à ses côtés.
Point de mot car la maîtresse des lieux attend comme toujours le présent qu'Asaël, en favori bien choisi, lui apporte toujours.

Un air faussement surpris quand il tend le paquet, un rire clair à nouveau quand elle s'en saisit et s'empresse de l'ouvrir pour mieux le découvrir.
Une pierre, si belle, si brillante que Renard fait habilement tourner entre ses doigts, un grand sourire aux lèvres.

– Une labradorite! Oh mon petit Asaël c'est merveilleux !

Des bras qui viennent l'enlacer quand les pieds quittent le sol. Comme toujours elle se pend à son cou, l'enveloppe de son parfum quand la pierre a déjà disparu dans les soies. Une autre caresse dans les cheveux bruns quand dramatique elle porte une main à son front, comme souffrante d'un mal bien terrible.

– OH Asaël bien sûr que tu m'as manqué ! Mon pauvre adoré a encore déserté la maison ! Comment pourrais-je y survivre un hiver de plus ?

Un sourire encore lorsqu'elle appose un nouveau baiser sur la peau, passe la main dans les mèches douces avant de s'éloigner d'un pas léger, sachant pertinemment que son adorable acrobate la suit.

– Tu as manqué tellement de choses ! L'hiver a été fructueux, nous avons quelques nouveaux clients réguliers et l'or s'amasse dans les coffres ! On t'a d'ailleurs réclamé, la foule t'adore mon chéri ! La silhouette qui se faufile, agile dans le bruit de tous les bijoux sur le corps, jusqu'à atteindre la roulotte que seuls les privilégiés peuvent découvrir. J'ai fait l'acquisition d'un bien beau livre de contes aussi ! Tu devrais l'aimer, il est sublime ! J'ai pensé à toi en le récupérant.. Mais installe-toi donc, nous avons bien des choses à nous dire après tout ce temps !

Grand sourire quand elle franchit le seuil de la roulotte pour pénétrer dans une petite pièce bien fouillie entre mille drapés luxueux. Prenant place sur le lit moelleux, elle se prélasse et tapote la place qui sera toujours celle de ses amis les plus chers.

– Commençons par le plus important mon petit ange, comment vas-tu après m'avoir tant fait languir ?


ft Asaël

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Asaël Bethsaïde

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Sujet: Re: cour des miracles | feat. Renard (flashback - juin 1020)   Sam 28 Nov - 0:23




cour des miracles //
« some are like water, some are like the heat. some are a melody and some are the beat. sooner or later they all will be gone. why don't they stay young? » — feat Renard
Le corps d'Asaël se tortillait au rythme d'un rire trop plein d'une joie qu'il ne pouvait plus contenir, entre les bras de Renard. Il la laissa se pendre comme ça à son cou pour mieux l'emprisonner à son tour de son étreinte et faire tournoyer leurs corps sur eux-mêmes. C'est comme la première inspiration après avoir gardé trop longtemps la tête sous l'eau, de se retrouver l'un contre l'autre.

"Elle ne pouvait être pour personne d'autre, avec ses reflets si incroyables ! J'en avais encore jamais ramené une comme ça !"

La main qu'elle passe dans ses cheveux tout décoiffés lui laisse un sourire d'enfant sur le bout des lèvres. Secouant la tête pour dégager les quelques mèches dissidentes de ses yeux, Asaël sent son cœur se serrer rien qu'un peu : comme une pointe de culpabilité.  

"C'est toujours pour mieux revenir que je m'en vais, tu le sais bien."

Quelques mots que l'acrobate souffle en marchant dans les pas de cette femme qu'il admire tant. Il n'avait jamais manqué un retour au bercail, Asaël. Peu importe les saisons, peu importe les déconvenues incontournables du voyage : il revenait toujours. Comme si le chemin qui menait au cirque était toujours tout tracé.

Savoir que le cirque commençait doucement à prospérer apaisait les inquiétudes du jeune homme. Toujours sur les routes, quelques pensées et quelques angoisses venaient s'insinuer dans son esprit. Asaël aimait croire que les Arcanes gardaient toujours un œil sur eux.

"Comme tu me flattes ! Je suis loin d'être la seule étoile du cirque à faire chavirer les cœurs, sous ton chapiteau. Tu as un don pour nous repérer..."

Entre les mains de Renard, les pierres brutes et rugueuses se changeaient en joyaux. L'ombre menaçante de ses jours de misère qui semblait s'acharner à hanter Asaël ne pouvait pas l'atteindre, ici.

Il avait été un artiste parmi tant d'autres, l'acrobate. Jusqu'à ce qu'il prête sa plume, ses manières et ses mots à Renard. Jusqu'à ce qu'ils se perdent dans des histoires du soir et dans une relation fraternelle.

"Ton bon goût n'est plus à démontrer, Renard. J'ai hâte de le voir ! J'ai très hâte !"

D'un geste gracieux, Asaël se délesta de son veston bariolé, le posant délicatement sur un petit portant en bois déjà bien chargé, et retira ses chaussures dans l'entrée. Comme si toute la fatigue qui s'était accumulée pendant son voyage venait de lui tomber sur les épaules, il se laissa presque tomber sur le lit. Lâchant un grognement satisfait et bienheureux, Zorya se coucha à ses pieds.

Le luxueux cocon qu'était la roulotte de Renard ne cessait jamais d'impressionner l'acrobate. De son avis, elle rivalisait chaque jour un peu plus avec les demeures des nobles les plus fortunés.

"Quelques petites cicatrices de plus çà et là, mais toujours entier ! Qui suis-je pour me plaindre ? J'ai réussi à me mettre quelques riches patrons dans la poche pendant cette saison... J'ai déjà des contrats pour l'automne !"

La fierté raisonnait dans sa voix. Puis subitement, il prit un air des plus sérieux, Asaël. Faisant un grand geste pour capter l'attention de son hôte.

"J'ai vu de ces choses, Renard ! J'en frissonne encore ! Un homme qui avale des sabres ! Tu as déjà vu un avaleur de sabre ? Il t'en faut un dans ton cirque... pense au prix que les gens seraient prêt à payer pour voir ça !"

Le seul souvenir de cet incroyable numéro suffisait à faire s'agiter l'acrobate comme une puce qui sautille.  

"Des cracheurs de feu, c'est du vu et revu. C'était vraiment fou, de l'observer rentrer ses sabres dans sa bouche jusqu'au pommeau ! J'ai vu ça chez un marchand un peu illuminé... Il est vraiment farfelu, mais qu'est ce qu'il est riche !"


Renard Bellay

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Sujet: Re: cour des miracles | feat. Renard (flashback - juin 1020)   Dim 29 Nov - 11:27


Cour des miracles.
Jours heureux
Juin 1020.


Ils rient tellement ensemble, à gorge déployée, l'air si heureux. Renard ne peut qu'aimer de tout son cœur ces retrouvailles, à chaque fois sans exception. Le sourire qui reste quand elle flotte dans ses bras, caresse le visage avec une affection évidente. Si tous les membres du cirque se pensaient spéciaux et aimés, ils découvrent toujours qu'il n'en ai rien en voyant Asaël, le vrai aimé, le vrai spécial en dehors de Phoenix.

– Tu choisis toujours de merveilleux cadeaux, Asaël. Je demanderai à m'en faire un collier ! Ou peut être que je pourrais la garder intacte dans la roulotte.. Qu'en penses-tu ?

Il peut bien marcher derrière elle, se tenir loin de ses yeux, il ne quittera jamais son cœur pour autant.

– Je sais très bien que tu reviens toujours ! Laisse donc ta jolie patronne s'impatienter, tu sais comment je suis !

Un clin d'œil aux mots qui suivent, là sur le pas de sa demeure.

– Il faut bien une étoile pour en faire briller d'autres !  Mais tu restes ma plus belle réussite, regardes toi !

Le rire léger quand elle laisse une nuée de parfum flotter dans l'air, se laissant choir gracilement dans les coussins moelleux. Avec Asaël, le jeu est plus tranquille, adieu les trop grandioses mensonges, il ne reste plus que ce que les mensonges ont laissé qu'on a appris à nommer vérité. Un peu de vrai, un peu de faux car c'est ce que Asaël a su découvrir, ce que Renard peut bien être tant elle a oublié Heloise. Et ainsi il s'offre une place de choix dans le cœur bien gardé quand elle vient poser sa tête contre l'épaule de l'ami.
Le corps qui se relève juste assez pour observer le visage, la main qui se perd dans les mèches sombres avec cet éternel sourire aux lèvres, le regard pétillant d'une émotion jamais trop évidente tant il semblait toujours malicieux.

– Je suis contente d'apprendre que tes affaires se portent bien, tu le mérites ! Et j'espère que tu soignes bien ses vilaines cicatrices ! Tu sais que je n'aime pas voir mes employés se laisser aller !

Protectrice Renard quand elle transforme le désordre des cheveux en un chaos inimaginable. Elle sourit, énigmatique, repose sa tête au creux de sa main quand il conte ses découvertes, celles que Renard a déjà faites par le passé. Et si quelqu'un d'autre aurait ennuyé Renard, Asaël captive son cœur, l'attendrit quand elle rit doucement en se laissant choir totalement dans les coussins.

– J'en ai déjà rencontré quand je voyageais, oui. Mais tu sais que je ne recrute que des personnalités flamboyantes, je n'ai pas encore trouvé de perle rare dans ce domaine ! Le regard qui se perd sur ses mains, jouant avec les bagues précieuses dans une ribambelle de tintements. Je ne protège pas n’importe qui ici, ils ont toujours eu un détail qui m’a dérangée.

Trop peu de personnalité, un charisme envahissant ou une personnalité de tigre indomptable que Renard refuse de voir chez elle. Elle est la seule autorisée à dominer ce monde. L’air s’en durcit un moment, dévoile une parcelle cruelle de son coeur quand elle se veut seule maîtresse des pantins de son monde. Et si elle peut bien vouloir dompter certains, jamais au sein de sa maison.

Elle se redresse soudainement, lunatique Renard quand elle semble soudainement bien énergique. La main qui court sur l’étagère, fouille du bout des doigts pour en sortir un gros volume relié. Si il a été difficile à dérober, Renard n’en tire que plus de fierté quand elle glisse l’ouvrage entre les mains d’Asaël.

– Mais assez parlé de business, regarde donc mon nouveau trésor ! Ça fait bien longtemps que tu ne m’as pas fait la lecture.

Capricieuse Renard quand elle rit, se prélasse à nouveau dans le lit pour mieux venir clore les yeux et attendre que la voix de son cher ami ne caresse ses oreilles. Elle ne peut jamais résister bien longtemps à ses envies et elle ordonne presque le sourire au visage.

– Fais moi la lecture ou raconte moi encore tes périples Asaël.

Parles-lui, Asaël car c’est ainsi qu’elle te montre le sincère manque de toi.



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Sujet: Re: cour des miracles | feat. Renard (flashback - juin 1020)   Mer 23 Déc - 20:11




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"Elles sont bien soignées et tout à fait bénines. Se retrouver tout cabossé serait malvenu et m'interdirais la plupart de mes numéros."

Comment s'élever haut dans les airs ou marcher sur ses mains si le corps dit non ? Asaël ne préférait même pas s'imaginer cela.

La confiance et l'estime qu'elle plaçait en lui et en ses talents d'acrobate réchauffait profondément le cœur du jeune homme. C'est qu'il n'avait que trop peu de fois entendu qu'il méritait. Sans vraiment courir après les éloges jusqu'à en perdre haleine, il ne pouvait s'empêcher de les espérer. Car elles faisaient naître en lui une allégresse silencieuse qui illuminait son âme de ses rayons, et celles de Renard se placeraient toujours au-dessus des autres.

Au-dessus de la moyenne hors-norme qui habite ce cirque merveilleux, et qui le fait tourner dans le sens contraire de l'univers. Un incroyable laboratoire de rêve et de folie, c'est ce qu'était cet endroit. Tous, ils ne sont que de prodigieuses petites marionnettes entre les mains de leur protectrice. C'est une réalité comme une autre, à laquelle l'acrobate n'a jamais rien trouvé à redire.

"Et tu nous protèges tous si bien... Tout ce royaume pourrait trembler devant toi et tes colères."

Quelques mots qui s'échappent d'entre ses lèvres en un murmure amusé, mais pas moins plein de vérité et d'une gratitude évidente. Il ne condamne pas la dureté qui peut parfois être celle du cœur de sa patronne, Asaël. Il a depuis longtemps trouvé sa place dans ce petit monde où elle mènera toujours la danse.

Son rire l'entoure et le laisse se dire que l'acquisition de ce livre l'a laissée dans un état jubilatoire rarement observé. D'un geste délicat et révérencieux, les doigts d'Asaël parcoururent la couverture. Les dorures qui habillaient le cuir le faisait scintiller comme le plus précieux des bijoux dans la lumière chaude qui baignait la roulotte.

"C'est un peu compliqué, de lire pour toi à l'autre bout du continent ! Je devrais revenir plus souvent me percher près de toi."

Elle était joueuse, la voix de l'acrobate. Douce comme le sirop et le miel dont on enrobe les pâtisseries sur les marchés. D'un geste on ne peut plus prudent, Asaël ouvrit l'ouvrage et s'étonna d'y trouver un imposante illustration qui fit scintiller ses yeux d'émerveillement, à la manière des astres qu'elle représentait.

"Renard... Sa valeur doit vraiment être inestimable ! Des contes sur les Hommes et les étoiles. Même les riches patrons n'en n'ont pas, des comme ça."

La page se tourna, et laissa son regard être attiré par le sommaire. Avec un étonnement non feint, il posa le bout de son doigt devant l'un des titres.

"Celui-là, je le connais. On le lisait chez moi, quand j'étais petit."

Quand il était petit... Ca semblait faire une éternité, ou même rien qu'un siècle.

"C'est l'histoire d'un roi et d'un astrologue. Les étoiles ont toujours quelque chose de fascinant, même à travers les pages d'un livre. Je pense pouvoir dire qu'il te plaira, Renard."

Délicatement, Asaël tourna les pages jusqu'à arriver sur celle qu'il recherchait. Son sourire si sincère lui en aurait presque fait mal, tant il étirait ses lèvres.

"Es-tu bien installée ? Je crois qu'on es là pour un moment !"





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